Manon et Pierre, étudiants

« On ne va pas souvent au restaurant. Mais cela ne nous est jamais arrivé de demander à reprendre nos restes », explique Manon. «  Moi c’est parce que je termine toujours mes restes » enchaîne Pierre. « J’aimerais remporter mes restes, mais on ne me l’a jamais proposé. Et puis, il y a toujours la peur de passer pour un ovni ! Même si parfois, ça fait mal de laisser alors qu’on a payé » continue Manon.  « Bon après, faut pas que cela occasionne des frais aux restos ! et puis, c’est d’abord aux clients de faire la démarche. Mais si c’est généralisé par l’opération " BON ICI ET BON CHEZ VOUS ", on le fera aussi » promettent-ils. 

Jean et Martine, retraités

« Le restaurant, oui, on y va. D’ailleurs on en sort à l’instant. Pour ce qui est de ramener nos restes, ce n’est pas dans nos habitudes. Ce n’est pas dans les mœurs, en France. On sait que les Anglais le font. Et puis, au restaurant, on essaye de ne prendre que ce que l’on va manger ; par contre, c’est vrai que chez nous, on ne jette pas la nourriture ; on ne fait pas de gaspillage. Finalement, l’idée des doggy bags, c’est très bien. Car ce n’est pas normal de jeter ! » 

Léa, lycéenne

« En fait, lorsque je suis allée au restaurant en famille, j’ai eu les yeux plus gros que le ventre ! J’ai commencé par prendre une entrée, très copieuse. Quand est arrivé le plat principal, je n’ai pas pu le terminer. Je savais que le restaurant où je me trouvais était partenaire de l’opération BON ICI ET BON CHEZ VOUS du SICOVAD, puisqu’il y avait un chevalet sur la table. Du coup, je n’ai pas hésité à demander au personnel si je pouvais rapporter mon plat ! » 

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